Contrairement à Quotidien, la Coupe du monde n’a pas fait de pause ce week-end. On rattrape notre retard avec deux invités en plateau : Cyrille Bret et Guillermo Guiz. Guillermoz Guiz est belge, et humoriste, et ancien footballeur. Durant toute la Coupe du monde, il chronique dans "Le Soir". Il n’a pas raté une seconde du mondial de cette année, il vient nous en parler sur le plateau de Quotidien. Et comme tous les soirs, parce que le foot ce n’est pas que du sport, Yann Barthès reçoit en plateau le professeur de Sciences Po et expert en géopolitique Cyrille Bret pour décrypter les enjeux politiques des rencontres entre pays sur le terrain. Pour son mondial à domicile, la Russie veut diffuser une image très propre et très lisse de son pays. Pas de hooligans russes dans les stades, pas de violences à l’extérieur, pas de débordements : le mot d’ordre est… l’ordre justement. Un peu trop. Au point que lorsqu’on se déplace sur les chemins empruntés par les supporters, tout est incroyablement propre et neuf. Sauf qu’à y regarder plus près… la réalité est bien moins reluisante. Baptiste des Monstiers est sur place, il décrypte la face cachée de la Russie pendant cette Coupe du monde 2018. On continue de débriefer la Coupe du monde 2018 dans Quotidien Mondial et on revient à la vie normale avec les reportages de Paul Larrouturou et Valentine Oberti, avant de retrouver en plateau le casting de "Budapest". Après les attaques de Virginie Calmels dans le Parisien ce week-end, la numéro deux du parti les Républicains s'est vu montrer la porte. Laurent Wauquiez, lui, refuse de commenter. Chez LR pourtant, le navire semble prendre l'eau : c'est encore une nouvelle guerre à la tête du parti. Paul Larrouturou est allé enquêté auprès des ténors du parti. Quant à Valentine Oberti, elle a retrouvé l’ancien président Nicolas Sarkozy pour lui poser la question. C’est LA comédie française de l’été, un genre de Very bad tri