A l'heure où l'hôtellerie de luxe subit l'impact du deuxième confinement, les "petites mains" des palaces redoutent de voir leurs postes précaires supprimés. Femmes de chambre, gouvernantes, équipiers : ils travaillent dans l'ombre pour que les clients mènent la vie de château. Aujourd'hui, ils sont à bout, épuisés par leur charge de travail. Des établissements prestigieux du VIIIe arrondissement aux 5 étoiles de la Côte d'Azur, enquête sur les coulisses pas toujours reluisantes des palaces. Pour comprendre ce que vivent les petites mains de l'hôtellerie de luxe, une journaliste s'est fait embaucher comme femme de chambre pendant neuf mois.