Contraint et forcé, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé hier qu’il quittait ses fonctions à la tête du parti conservateur, ouvrant la voie à l’arrivée d’un nouveau chef de gouvernement au 10 Downing Street. Sa démission, réclamée par une grande partie de la classe politique anglaise, a suscité des réactions dans le monde entier. De Washington à Bruxelles, de Kiev à Moscou, toutes n’ont pas été amicales parmi les dirigeants.