Ces charniers sont pourtant des scènes de crimes qui doivent être protégées, et analysées. Entre police scientifique et archéologie,tributaires d'un protocole précis destiné à optimiser les chances d’identification des victimes. Les informations récoltées permettront, peut-être, à la justice irakienne ou à la Cour Pénale Internationale, de juger les responsables des massacres.