Pratique ancestrale au Japon, les combats de sumo, essentiellement masculins, sont associés à la tradition shintoïste, qui considère la femme trop « impure » pour pénétrer dans le dohyô, le cercle de combat. Les sumos, ces poids lourds du sport japonais, génèrent une réelle frénésie jusqu’à être considérés comme des demi-dieux au pays du Soleil Levant.