Dimanche 18 décembre 1988, quatre adolescents découvrent dans le lac, sous le ponton de la Pointe-à-la-Bise à Genève, un gros sac de marin. A l’intérieur, le corps d’une jeune fille de 18 ans, Adèle Nicolo. Le soir même le couple de dentistes qui l’employait comme assistante dentaire passe aux aveux. C’est le début d’une sombre affaire qui va occuper les tribunaux genevois pendant des années. Un dossier où justice ne rime pas avec morale.