In der bolivianischen Hauptstadt La Paz sind Tiere anzutreffen, die selbst im Dschungel selten sind. In Säcke und Kisten gepfercht, werden Affen, Papageien, Schlangen und sogar Jaguare auf Märkten an private Halter, Zoos und Hotels verkauft, obwohl Wilderei in Bolivien verboten ist. (Text: arte)
Jour après jour, en bordure de la forêt tropicale bolivienne, le parc Machia accueille des animaux en piètre état : perroquets aux plumes arrachées, chats sauvages au pelage brûlé, singes capucins traumatisés d'avoir été enfermés des années durant dans de minuscules cages. Ils y sont soignés jusqu'à ce qu'ils puissent réintégrer la jungle. Juan Carlos Antezama a fondé l'association Inti Wara Yassi ("Soleil, lune, étoiles") pour sauver les animaux sauvages de la captivité. Mais il n'a pas voulu s'en tenir là : pour arracher les enfants des rues aux mafias de la drogue, il leur propose une nouvelle vie dans le parc, où ils s'occupent des animaux.