Au lendemain des funérailles de son fils, le pilote, Jacques Lachapelle, arrive au bureau du thérapeute. Durant la cérémonie, le père a discuté avec un soldat qui lui a mentionné qu'à la base militaire, plusieurs croyaient qu'Éric était incertain quant à son identité sexuelle et qu'il souffrait de problèmes émotionnels. Selon ses collègues, l'accident était en fait un suicide. Jacques cherche des réponses auprès du thérapeute. En colère, le père confronte Philippe. Selon lui, son fils aurait dû se confier à des proches au lieu de payer un parfait inconnu pour l'écouter. Jacques demande à Philippe s'il a convaincu le pilote de retourner derrière les commandes. Le thérapeute réplique qu'avec son patient, ils avaient envisagé toutes les possibilités et que le patient devait lui-même prendre cette décision. Lorsque Philippe suggère que l'accident était sans doute une erreur humaine, Jacques jette le blâme sur la thérapie. Selon le père, le traitement a sans doute conduit Éric vers une détresse psychologique ce qui a probablement causé l'accident. Irrité, le thérapeute ne tolère pas qu'on lui fasse porter le fardeau du décès d'Éric. À la fin de la rencontre, le thérapeute offre la machine espresso qu'Éric avait laissée au bureau. Jacques la laisse à Philippe en guise de souvenir.