Louis et les anguilles bleues

Une bande de faux gendarmes profite de la seule présence de Maryvonne pour effectuer une prétendue saisie au Terrier. Louis est furieux : on lui a dérobé des meubles de collection. Extrêmement motivée, Moivin est chargée de l'enquête. Elle considère qu'il y va de l'honneur de la gendarmerie nationale, et de ses futurs galons d'adjudant. Louis joue de cette motivation inespérée et imagine un piège : un stand suffisamment attrayant, sur la prochaine brocante de Vénissieu, pour appâter à nouveau ceux qui se font passer pour une équipe de la cellule anti-cambriolage. Le stand sera tenu par Maryvonne, la seule à pouvoir identifier les escrocs, et qui sera elle-même méconnaissable. Louis tient non seulement à récupérer ses meubles, mais aussi une fibule gallo-romaine qu'il avait rangée dans le tiroir d'un secrétaire qui a été volé. C'est un de ses clients, Gustave Bonneville, qui la lui avait confiée pour authentification...