À la fin des années 1970, le disco, jugé trop mainstream, est de plus en plus délaissé. Pour continuer à électriser les nuits des clubs de la planète, des musiciens de la scène gay de San Francisco créent, en 1981, la high energy, une nouvelle forme de disco shootée aux rythmes électroniques et incarnée bien souvent par des interprètes hors normes, à l’image de la drag queen Divine, popularisée par les films Pink Flamingo et Hairspray de John Waters. D’abord destinée au milieu LGBT, la high energy conquiert vite un large public avec une multitude de tubes internationaux. Du sulfureux Relax de Frankie Goes to Hollywood à This Time I Know It’s Real, le dernier hit de Donna Summer, ce nouveau courant musical s’épanouit au cours d’une décennie qui voit la communauté homosexuelle frappée par une maladie encore inconnue : le sida.
Name | |
---|---|
Olivier Monssens |
Name | |
---|---|
Olivier Monssens |
Name | |
---|---|
Heike Lettau | |
Guillaume Roy | |
Michèle Legin | |
Patrick Lauber | |
Isabelle Christiaens | |
Michael Grassi | |
Naëlle Samri |
No lists.
No lists.
No lists.
Please log in to view notes.