Sophie Rostopchine, Countess of Ségur, born Sofiya Feodorovna Rostopchina (Russian: Софья Фёдоровна Ростопчина; 1 August 1799 in Saint Petersburg – 8 February 1874 in Paris), was a French writer of Russian birth and origin. She is best known today for her novel Les Malheurs de Sophie (Sophie's misfortunes), intended for children.
Sophie de Réan est une petite fille qui n’est jamais à court d’idées dès qu’il s’agit de faire des bêtises (thé au trèfles et à l’eau de chien, coiffure de poupée brûlée...). C’est pourquoi elle doit souvent mentir à sa mère pour les cacher. Et bien que Madame de Réan veille, Sophie incite ses amies, Madeleine et Camille à faire les quatre cents coups. Tout va bien jusqu’au jour où notre petite héroïne perd ses parents et se retrouve entre les mains de sa terrible belle-mère, Madame Fichini, qui elle, n’est pas aussi calme que pouvait l’être Madame de Réan face aux bêtises de sa fille...
Sophie, une fillette turbulente, vit dans un grand château avec sa mère, la douce madame de Réan. Mais la famille quitte la France pour l'Amérique, et le destin de la petite Sophie bascule : sa mère disparaît en mer. Un an plus tard, Sophie est de retour en France, flanquée d'une odieuse belle-mère...
Au XIXe siècle, l’ascension sociale de Gaspard, l’un des deux fils des Thomas, un couple de paysans normands. Contrairement à son frère Lucas, bon garçon, mais peu doué pour les études, Gaspard, avec ses brillants résultats scolaires, attire l’attention de l’industriel Féréor qui l'engage comme contremaître dans son usine. Son ambition, doublée d’une froide détermination, va, sans faillir, emmener Gaspard au sommet de la réussite.
Deux enfants perdus, Jacques et Paul, sont recueillis par un brave militaire, Moutier. Ils s'arrêtent à l'auberge de l'Ange Gardien, tenue par l'excellente Mme Blidot et sa sœur Elfy qui les adoptent tandis que Moutier part pour la guerre de Crimée. À son retour, grâce à la générosité du général Dourakine auquel il a sauvé la vie... qu'il a fait prisonnier et qui veut lui témoigner sa reconnaissance, il est en mesure de demander la main d'Elfy. Et plus tard, encouragé par le général Dourakine, Dérigny attaché à ses enfants, demande la main de Mme Blidot.
De retour en Russie, le général Dourakine est contraint de recueillir sa nièce et ses quatre garnements. Après avoir découvert les manoeuvres de l'intruse, il s'en débarrasserait volontiers...s'il ne craignait pas qu'elle le dénonce au prince polonais Roman. Mais, le général Dourakine n'a pas dit son dernier mot !